Crédit et emprunt

Pour tout savoir sur le crédit ou emprunt et le rachat de crédit. Les différents taux et prêts du marché.
Il est souvent difficile de choisir le crédit ou emprunt le plus adapté à sa situation.
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Aux origines du crédit à la consommation
credit consommation dans l'histoire


L'Homme travaille spontanément ou par nécessité, pour produire des « richesses », qu'il consomme, qu'il échange ou qu'il épargne. Tout ce que l'Homme a besoin de détenir pour exercer son activité cons-titue un capital, terme qui étymologiquement dé-signe une tête du bétail des troupeaux (caput) dont vivaient nos ancêtres. Un, capital est un instrument de production, partant une source de revenus. Comme la production, l'échange demande du Temps, car il faut transporter des produits, cons-tituer des stocks, les mettre en distribution. La notion de capital circulant apparaît ainsi après celle de capital fixe. Quand, dans un échange, la contre-prestation est différée dans le temps : il y a crédit. Dès que le temps s'infiltre dans un processus économique, la notion de crédit apparaît ; point n'est besoin d'ins-truments ou d'institutions intermédiaires. Après les trocs élémentaires vinrent les échanges contre monnaie et les échanges de diverses espèces entre elles. Dès lors, les produits et les services circulent en donnant lieu à des contre-flux monétaires, dont la vitesse revêt une grande importance ; ils se tradui-sent par des transferts entre particuliers, ménages, entreprises, administrations, instituts financiers, à l'intérieur ou au-delà des frontières nationales. Dans une économie monétaire, les ressources de la production ou de l'importation doivent s'équi-librer avec les emplois provenant des dépenses ou BANCAIRES des exportations. Ces dépenses pouvant être soit des dépenses de consommation, soit des dépenses d'in-vestissement, qui toutes sont des dépenses de revenus. L'épargne créatrice, par opposition à l'épargne en instance d'emploi, consistant, non seulement à mettre un revenu de côté, mais à l'employer pour acheter des capitaux existants ou pour créer des capitaux nouveaux. Qu'ils soient représentés par des biens concrets ou par des titres de créance ou de participation, les capitaux sont toujours des sources de revenus. Innombrables sont les besoins des agriculteurs, des industriels, des commerçants, des particuliers, des collectivités qui veulent des disponibilités contre une promesse de remboursement à provenir de re-couvrements, de réalisations d'actifs, de l'autofi-nancement ou de bénéfices futurs, c'est-à-dire contre des certitudes ou des espoirs. Les techniques bancaires ont pour objet de satis-faire ces besoins variés en mettant en œuvre des facteurs psychologiques et des notions juridiques dans des mécanismes de distribution du crédit. . Le crédit c'est la confiance qu'inspire la solva-bilité. Littré, qui donne cette définition, la commente ainsi : « Le crédit est, proprement et étymologique-ment, la confiance qu'inspire notre solvabilité et qui fait qu'on nous prête de l'argent et, figurément, qu'on aura pour nos avis ou nos démarches une déférence méritée par notre caractère, par notre position, par notre talent. » Le crédit public, c'est la confiance dont jouit un Etat, ou son gouvernement, notamment pour placer des emprunts. Un crédit budgétaire, c'est l'allocation qu'un Par-lement ou une autorité de tutelle vote ou approuvev au profit d'une Administration. « Crédit est mort », dit-on, lorsque les prestations n'ont lieu que contre argent comptant, c'est-à-dire lorsque l'on ne fait plus crédit que « de la main à la bourse », vieille expression qui sauvegarde, à la limite, le rôle du crédit qui s'insère toujours entre les éléments d'un échange. Dans la terminologie commerciale, bancaire et comptable, un crédit désigne la somme qu'un com-merçant ou un banquier accepte de mettre à la disposition de son client. Assorti d'une durée : crédit à court terme, crédit à moyen terme, crédit à long terme, le mot désigne le « terme » accordé à un débiteur par celui qui a confiance en lui, qui lui a fait crédit et qui partant détient une créance sur lui. Le crédit a, par ailleurs, une acception morale qui désigne une influence qui découle de la considéra-tion (ex. : « si mon crédit peut obtenir sa grâce »). C'est enfin l'autorité dont jouit une nouvelle, une opinion, la croyance en un fait (ex. : « donnez-vous à l'erreur encore quelque crédit ? »). Donc les attitudes inspirées par la confiance font naître les créances et sont à l'origine des diverses techniques bancaires qui la mettent en œuvre, et l'organisent pour mieux la mobiliser. Les premières opérations qui répondent à cette fin sont plus anciennes que la monnaie elle-même. Pour sauvegarder leurs bases fragiles, elles devaient tout naturellement s'entourer des sécurités qu'ap-portent les institutions solides et respectées qui repo-sent sur les croyances. C'est ainsi que les lieux sacrés furent jugés comme les plus sûrs abris pour les pre-miers dépôts. Ce furent aussi les Temples qui consen-tirent les premiers prêts, car l'obligation de rem-bourser était renforcée par la crainte des sanctions divines. Ainsi, dès l'origine, ce sont des institutions n'ayant pas un caractère privé, mais une nature trana dante à l'individu, qui dispensèrent le crédit nature. Aussi bien, le secteur public de la banque apparaît pas comme une nouveauté si l'on considère que le secteur sacré peut être son loin ancêtre à la différence près que l'Etat s'est subst aux Dieux. Certes, la banque quittera rapidement les Temples, et le commerce de banque sera laïcisé bien avant d'être étatisé. La création de banques publiques viendra équilibrer le développement des dynasties financières. Ainsi, des banques royales seront créées en Egypte dans chaque province après la conquête d'Alexandre. L'alternance d'un secteur public et d'un secteur privé est aussi ancienne la vie bancaire elle-même, qui gagnera plus tard leur coexistence. Quand Germain a dit : « Les banques, ce n'est pas de l'argent, ce sont des hommes », son mot était juste. Certes, la banque repose toujours sur des honu et de 1 argent mais aussi sur des techniques qui évoluent rapidement pour mieux servir des besoins sans cesse plus diversifiés. De nos jours, dans tous les mécanismes de la économique qui ont donné lieu au développement d'une technologie, les progrès engendrent une complexite telle qu'elle finit par faire oublier leur raison d' être primordiale. La fusée de nos jeux d'enfan permis d'atteindre la lune ; la lettre de change ( champs de foire va devenir la lettre de chan relevée des ordinateurs. Les principes de base n'apparaissent souvent plus derrière les mécanisme.






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